Si internet explorer vous cache quelque chose, adoptez un autre navigateur...

Mettez un goupil dans votre moteur...

Ces derniers temps plusieurs personnes m'ont signalé qu'elles n'avaient plus accès au texte de mes notes sur ce blog (et n'en voyaient que le surtitre, ou même rien du tout). J'ai vérifié. Quand on utilise Internet Explorer, ce blog est en effet plein de trous, s'agissant principalement de mes notes les plus récentes. Voilà qui est curieux. Mais je n'en chercherai pas la raison, c'est au dessus de mes forces, et sans grand intérêt, puisque la parade existe. J'utilise en effet les services d'un rusé compère, Mozilla Firefox, qui se laisse apprivoiser sans problème, et sait voir ce que les autres ne voient pas, ou ne veulent pas voir. Alors si vous voulez connaître la suite des aventures de Fernando de Tourville, par exemple, ou glaner quelques renseignements sur la gestion de l'urbanisme à la mode de Caen, n'hésitez pas à adopter un renard. C'est gratuit.

Vos commentaires sont les bienvenus...

Bonsoir et merci à R. Garand et à G. Couderc qui viennent de poster les deux premiers commentaires sur ce blog. Que ces commentaires soient plutôt favorables n’est pas l’essentiel. L’essentiel pour moi, c’est de ne pas parler aux murs. D’échanger. Echanger des infos, des analyses, des opinions (proches ou opposées)…

Alors n’hésitez pas à transformer mes soliloques en conversations, par vos interventions…

Car je ne sais rien du prix de la pelouse provisoire des Rives de l’Orne, ni de l’histoire apparemment mouvementée des locaux d’YCM… On ne peut pas tout savoir, mais on peut apprendre. Alors toutes les infos complémentaires (et sérieuses) sur ces sujets (et sur d’autres encore !) sont les bienvenues. Qu’on se le dise…

R. Couderc nous met lui aussi l’eau à la bouche avec d’autres infos prometteuses en provenance de Harfleur. On aimerait en savoir plus sur le « chantier en perdition sous administration judiciaire » dont il parle (permis de construire, etc). On connaît certes sur Caen la SAS GII (Groupement Investissement Immobilier, SIREN 449499060), société en redressement judiciaire, dont le gérant fut (mais n’est plus) Fernando de Almeida GOMES. Lequel est effectivement interdit de gérer par une ordonnance du président du Tribunal de Commerce de Caen (d’après un extrait Kbis de la Sarl « La Villa de Tourville »). Alors on souhaite évidemment en savoir plus. Par contre un premier contact un peu substantiel est peut-être souhaitable, et plus facile par d’autres moyens que ce blog. Dans ce cas, R. Couderc peut par exemple nous envoyer ses coordonnées téléphoniques par courriel à : hastings.saint-nicolas*laposte.net (remplacer * par @).

 

 

 

Demandez le programme !

Je m’appelle Bruno HERGAS. Bientôt sexagénaire (tout arrive), je suis né à Caen et n’en suis pratiquement jamais resté éloigné plus de quelques mois, trois ou quatre ans tout au plus. Il ne s’agit pas pour moi de tirer de cet enracinement un quelconque avantage, par exemple de prétendre à une meilleure connaissance des problèmes de la cité. Le temps ne fait rien à l’affaire, c’est bien connu...

Les hasards de l’existence m’ont pourtant amené à suivre d’assez près, au cours des vingt dernières années, les débats auxquels ont donné lieu divers projets municipaux d’aménagement et d’équipement de la ville de Caen.

Projets d’urbanisme avant tout, mais aussi feuilleton du TVR, aujourd’hui improprement baptisé « tram », quand son rail unique le condamne à n’être qu’un mode de transport boiteux, plombant le développement des transports publics dans les deux seules villes qui se le sont vu imposer, Caen et Nancy.

Il m’est arrivé d’être acteur dans ces débats, soit au titre de militant associatif, défendant au cours d’enquêtes publiques, ou devant la justice administrative, les intérêts de nos mandants (notre action a parfois, et même assez souvent, entraîné l’annulation de décisions contestables, en matière de plan d’occupation des sols ou de permis de construire), soit à titre personnel (par exemple contre la vente au rabais, à des promoteurs privés, de terrains aménagés par la ville aux frais du contribuable).

On ne défend pas ce genre de dossiers sans avoir des choses à raconter, ni réunir des documents peu connus, ou totalement inconnus du public, qui pourtant méritent peut-être d’être publiés. C’est ce que j’envisage de faire ici, si je parviens à dominer ma paresse, et mon dégoût devant les dérives actuelles de la démagogie, présidentielle notamment.

Autant dire que je ne m’interdis pas des digressions sur d’autres sujets...